Quel futur pour le Grand Paris?
© Le Moniteur des travaux publics et du batiment, extraits des n°5499, 5500 et 5501.
Dix équipes conduites par des architectes ont immaginéle Grand Paris à l’horizon 2050.
Il y a 40 ou 50 ans, des décisions majeures ont été prises, des investissement oublic colosaux ont été engagés: la création de lignes de métro rapide règional (RER) se croissant à Chatlet sous un nuveau centre commercial (Les Halles), la construction d’une autoroute urbaine en rocade (le pèropherique), l’implantation de cinq villes nouvelles en seconde couronne, la creation d’un quartir d’affaires (La Défense) en proche dans la balieu dans l’axe des Champs Elysées…Autant de choix stratégiques dèterminants qui ont façonné la capitale dans le deuxieme moitié du XX siecle. Quelles sont les décision du meme ordre, de la meme apleur, à prendre aujoud’hui pour permetre au Grand Paris d’affronter les défis du XXI siecle, d’orienter au mieux son dèveloppement, tout en améliorant les condition de vie de ses habitant? Certes, Paris n’est pas une mégalopole à croissance exceptionelle comparable à celles d’Asie. L’essentiel de la métropole des trente prochaines années est déjà là, y compris sa population qui ne dépassera probablement pas les 12 millions d’habitants. Il n’empeche qu’en l’état des choses, le manque de logements, la congestion des moyens de transport, les déséquilibres sociaux, la rareté des espaces verts ou natureles entrìnent des dysfonctionnements qui risquet, à terme, d’affaiblir son efficacité économique et son attractivité. L’urgence est là renforcée par le réchauffement climatique et l’impératif de concervoir una ville « durable ». Mais la « gouvernance » de la capitale française d’est plus la meme qu’il y a 50 ans. La décentralisation est passée par là, la region détient une forte capacité d’investissement et on imagine mal que l’avenir ne doive etre négocié meme si un secrétariat d’Etat au développement de la region capitale a été crée en mars 2008. Plusieurs projets existent déjà de prolongements de ligne RER. de création de métro en banlieue, de renforcement de poles économiques, de construction de logements et de densification pour la plupart consignés dans le Sdrif, le schèma directeur de la régionm Ile de France. En prenant l’initiative de confier à dix èquipes conduites par dea archite<tes-urbanistes le soin d’imaginer le Grand paris de 2050, Nicolas Sarkozy a voulu sortir des sentiers battus de la planification urbaine traditonelle. Il renouvelle le genre pour en appeler à la créativité, au foisonnement des idées, à la diversité des méthodes, à la confrontation des points de vue, aux regards venus d’ailleurs en Europe. Les propositions des dix équipes, qui seront exposées à la Cité de l’architecture, à Paris, du 29 avril au 22 novembre-ne sont pas des projets prets à etre mis en oeuvre mais des souggestions, des stratégies des prinsipes mis en image et étayés par des mis en analyses d’experts et d’universitaires. Ils constituent un moment de respiration et de dessinent autant de scénarios possibles pour le futur.
G.D